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Pépites littéraires octobre

❤ Coups de cœur ❤

Chaque mois, Quinoa explore de nouvelles ressources littéraires et fait le tri pour apporter toujours plus de références à son centre de documentation. Son but? Enrichir davantage notre compréhension du monde et des sociétés qui le composent.

Lire pour mieux apprendre, apprendre pour mieux déconstruire, déconstruire pour mieux lutter !

Certaines des références ci-dessous sont disponibles en prêt dans notre centre de documentation.

Envie d’organiser une session d’arpentage autour d’un des livres présentés ? Contacte-nous !

  • Femme, Rêve, Liberté – 12 histoires inédites

Que signifie être une femme aujourd’hui en Iran ? Quelle place occupe-t-elle dans une société régie depuis plus de quatre décennies par une théocratie totalitaire exclusivement masculine ? Quelles sont les raisons de la colère qui a embrasé le pays depuis le 16 septembre 2022, le jour où la jeune Mahsa Jina Amini a succombé aux coups de la police des mœurs ?

Éditions Actes Sud

 

 

 

 

En soutien à celles et ceux qui se sont insurgés avec tant de courage contre la tyrannie, voici donc douze histoires, douze voix qui viennent s’unir au cri de cette révolte qui ne s’éteint pas. Pour qu’on ne l’oublie pas.

  • Décolonisons-nous – Frank Lao

À la fois récit sociologique et quête intime, Décolonisons-nous explore la manière dont l’héritage colonial s’incarne dans la société contemporaine. Ségrégation scolaire, inégalités sanitaires, violences policières… Convoquant Frantz Fanon comme MC Solaar, cet essai questionne nos biais et notre histoire collective, rappelant que les populations non-blanches sont avant tout des individualités, aussi variées que fluides, aspirant à la liberté.

Éditions JC LattèsLire un extrait

 

 

Une analyse rigoureuse, documentée et incarnée de la manière dont l’héritage colonial continue à imprégner notre imaginaire collectif

  • Pour une écologie libertaire. Penser sans la nature, réinventer des mondes – Damien Darcis

Dans ce livre, nous racontons une histoire, celle de la disparition des communautés paysannes avec l’avènement de la modernité. Auto-gouvernées et auto-subsistantes, celles-ci entretenaient avec leurs territoires une relation de co-construction impensable au départ des catégories modernes, en particulier celles d’industrie, de patrimoine et de nature. Nous défendons une hypothèse : l’industrialisation des territoires, indissociable de l’invention de zones à valeur patrimoniale (historique ou naturelle), s’inscrit dans une logique de gouvernement des vivants.

Editions Eterotopia

 

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